Les Japonais sont horribles. Quant aux Japonaises, personne n'en parla jamais mieux que Louis Martin qui écrivait dès 1895, dans un remarquable essai sociologique intitulé « L’Anglais est-il un Juif ? »(1) : «Si la Japonaise est la négation la plus absolue de la femme, elle est aussi la négation la plus absolue de la beauté grecque. »
Moralement, les Japonais sont encore plus atrocement laids qu'au physique. On dit que leur politesse est proverbiale, mais ma sœur aussi est proverbiale. Ça ne l'empêche pas d'être contagieuse.
De caractère très épais, les Japonais se mettent naturellement avec les Allemands pendant les guerres mondiales. A l'instar de leurs cousins teutons, ils adorent les guerres mondiales, ça leur permet de s'écraser sur des bateaux en chantant Qu'un Sanguimpur.
Entre deux guerres mondiales, les Japonais s'étiolent mais continuent de marcher au pas pour ne pas perdre la main, qui leur sert accessoirement de pied. En rangs serrés de fourmis cadencées, ils font des motocyclettes, des magnétoscopes ou des photos de l'Arc de triomphe.
Heureusement, les ouvriers japonais sont sous-payés, ce qui ne leur permet pas de s'offrir des baignoires pour mettre leur soupe chinoise dedans.
Pour se nourrir, les Japonais mangent du riz sans blanquette ! J'en ris encore.
Farouchement passéistes, obstinément accrochés à leur culture païenne, voire bouddhique, basée sur l'obséquiosité chafouine et l'aileron de requin, les Japonais se sont toujours montrés réfractaires à l'évangélisation chrétienne et à l'humour anglais. « Tu veux du kaoua, Zakie ? » demanda un jour l'empereur Hiro-Hito qui conviait à sa table la veuve Kennedy-Onassis à peine remise de la cruelle douleur que fut pour elle la disparition des couilles en or de son Grec. C'est là, hélas, toute la finesse d'esprit dont est capable ce peuple tellement arriéré qu'il refuse l'énergie nucléaire par crainte des tremblements de terre.
Cité dans le Dictionnaire de la bêtise de Guy Bechtel et Jean-Claude Carrière, introuvable chez Laffont.